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23/01/2016

Attentats de Paris et "fabrique mémorielle"

000_ARP4336637.jpgSuite à une première réunion informelle en décembre 2015, le programme Dieu Change à Paris s'est réuni le 21 janvier 2016, en présence de huit personnes, autour de Jonathan Richard (post-doctorant du GSRL).

Cette réunion s'inscrit dans le contexte de l'appel lancé par la Mairie de Paris sur la mémoire urbaine des attentats du 13/11/2015. Sous la forme d'un atelier de travail, elle a eu pour objet de s'interroger sur la manière dont il est possible d'étudier, sous l'angle des sciences sociales, la "fabrique mémorielle" en cours après les attentats de janvier 2015 et du 13 novembre 2015 à Paris.

 


Un effort important de la mairie de Paris est en cours pour que les archives de la ville de Paris oeuvrent à la constitution d’une mémoire des attentats.

Jonathan Richard s'est livré à un rremier état des lieux sur place de la République et Bataclan : Solidarité de l’émotion mais sur des supports qui signifient fortement la spécificité de celui qui laisse le message. Enormément de drapeaux et de collectifs associatifs (ethnique, religieuses, culturelles, citoyennes, laïques)…

Le monde a trouvé ici la façon de dire à la fois son unicité et sa multiplicité. Qu’est-ce que cette manifestation quasi immédiate et spontanée a à dire du temps présent? Mais est-ce que peuple donné comme a priori « uni » l’est-il vraiment?

Jonathan Richard propose de travailler sur trois axes

  • 1) Axe « TERRAIN » : nature, conditions, et objectifs de cette fabrique mémorielle
  • 2) Axe « DIVERSITÉ DANS L’UNITÉ »
  • 3) Axe « GLOBAL » : sang de Paris, Paris village monde, réaction du village planétaire

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